Le Béhémoth...Fanfiction

Le nouvelle fanfiction se déroulera dans un univers semblable à celui de D&D. J'agirai un peu comme DM dand d&d, se sera donc moi qui fera avancer l'histoire. Je veut parcontre au moin une quête pour votre personnage, quête que vous m'enverez sur mon e-mail, et que je ferai entrer dans la fic.

Mlagré le fait que je fasse avancer les grandes lignes de l'histoires, je compte sur votre imagination pour faire les détails!

Et maintenant, pour ceux qui relèvent le défi du Béhémoth, postez vos fiches de perso!

Vos persos ne se souviennent de rien au début de la fic , et je vous dirai lorsque leur souvenirs leur reviendront.

La sueur qui coulait dans mon front et déscendait dans mon oeil me réveilla. La chaleur du soleil était incroyable. À l'horizon, des dunes de sables a perte de vue. Au nord, des montagnes, vertes. Signe d'eau. Autour de moi, des corps, peut-être des cadavres, étandus sur le sable. Je portai ma main à ma taille par pur réflexe, pour y trouver une gourde en peau de chèvre, pleine. Je me précipitai sur l'homme le plus proche. Sentant son poul battre dans son cou, je lui coulai un mince fillet d'eau dans sa bouche entre ouverte. Il s'étouffa , puis pris une gorgée. L'homme se levas.

Dans ma tête:
-On doit l'aider, seul dans ce désert, on survivera jamais.
- Prenons ses affaires, ils nous rapporterons quelquechoses
-Il fait peur, sauvons nous!
-ON L'AIDE POINT!
-de toute façon, il y a 93,43% de chances qu'il nous aide...

Qui sait depuis combien de temps j'errais parmi les labyrinthes d'Ombre-Terre? Même moi, j'avais perdu la notion du temps, chose qui n'était pas commun chez un elfe. Des jours? Des semaines? Des mois? Des années? Je n'en avait aucune idée. Je divaguais dans les ténèbres à la recherche de compagnons pouvant accepter un drow reniant sa propre nature... J'avais essayé chez les Nains Gris, ou Svirfneblin, mais je m'étais fait pourchassé très longtemps par ceux-ci. J'avais même tenté avec les goblins, en désespoir de cause... Ils m'avaient crachés dessus tels des avortons, alors j'avais répliqué en brandissant Ravage et Malice, mes deux cimeterres. Aucun d'eux n'avaient survécut. Mais j'avais découvert, avec horreur, que je m'étais, une fois de plus, laissé emporté par mes sentiments propres à ma race. Je me dégoutais tout simplement, même pour des goblins. Je vallais mieux que ça...

- Je ne fait que tourner en rond... j'ai faim et je suis las... Est-ce que le sacrifice à la Déesse-Araignée aurait été plus souhaitable?

Aussitôt dit, je me mordit intentionnellement la langue afin de retirer les mots que j'avais prononcé. Toute vie, misérable ou non, vallait mieux que d'être l'esclave de Lolth. Non, je devais continuer...

- La pire chose que je subirai, ce sera d'être capturé par des Flagelleurs Mentaux... Encore mieux que de croupir sous les ordres de la Matrone du clan Dextérias.

Toutefois, je ne pouvais plus avancer pour aujourd'hui. Je devais m'étendre là et dormir... rien qu'un peu. le lendemain serait plus prometteur, car il me semblait sentir une immense vague d'air chaud provenant de ma destination inconnue.

Je repris connaissance, a moitié déshydraté pas l'incroyable chaleur qui fracasait l'endroit. Je réussis à ouvrir les yeux, et je distinguai un paysage horrible : un désert. Autour de moi gisaient un bon nombre de loques humaines, qui n'étaient pas beaucoup mieux arrangées que moi. Sans doute étaient-ce ces personnes qui m'avaient amenées jusqu'ici. Ces stupides humanoïdes avaient trouvé bon de m'emporter pendant mon sommeil. Sans doute ces chiens voulaient -ils de macrifier à un gourou de quelque secte maladroite et miteuse.
Je courus vers un gars allongé dans le sable chaud, et lui volai sa gourde. Je bus une grande rasade, et courus me mettre à couvert derriere une dune. Je déballai une poupée. Le premier qui se lèverait passerait un mauvais quert d'heure.

Ce fut à cet instant qu'un douleur insoutenable me transperca le ventre. Malgré le grossier traquenard dans lequel je fus emmené, mes douleurs d'estomac n'avaient pas cessé. Qu'est ce que je ne donnerais pas pour un petit champignion, pour calmer ma douleur au ventre...Je ne prêtai aucune attention à mon problème gastrique, et repris ma poupée : une de ces larves s'était levée...

Ouch.... ma tête... mais où suis-je?? Je m'assie lentement... Euhmmmm, QUOI!? des gens.... je, je suis entourée de personnes et je ne les connais même pas... comment suis-je arrivée ici? Je l'ignore...

La lumière me brule les yeux... et le sable me brule littéralement la peau....

Je regarde autour de moi... un homme et penché sur un autre... il tient quelque chose entre ses mains... et cet objet brille drôlement...il va le tuer!!!

Je me précipite sur l'homme pour l'empêcher de tuer l'inconnu... le renversant sur le côté....

L'homme me regarde fixement.... "Une elfe!", il crache de côté... pis me regarde encore...

Oh, non, mon voile vient de tomber.... il regarde fixement et sans aucune expression mes yeux... je replace mon voile.... il reprend conscience...

Je me relève et le regarde... puis m'enfuit en courant... mais après quelques secondes seulement, ma force faillit, et je tombe au sol, sur le ventre... QUOi, une preuve faiblesse, dégoutant.... vite, je dois me relever...

Je me relève.... et trouve, en me retournant vers le groupe duquel je fut partie... l'homme à la gourde... qui, du cercle informe de corps, me regardait tjrs...

Je m'installai donc à cet endroit, celui où j'étais tombée... En gardant toujours une main sur un de mes sabres... de peur que ce vil ne m'attaque...

Bordel, j'ai mal...fait trop chaud...j'ai soif... pensai-je, dans un demi-sommeil pas confortable du tout.J'étais allongé sur le sable, et c'était pas vraiment confortable. Puis, j'ouvri les yeux, pour regarder ce qui était autour de moi. Des cadavres...une douzaine ou peux être même une vingtaine , estimai-je, au pif. Et le désert. Des kilomètres de plaines désertiques de tout les cotés,et des cadavres, me voila bien avancé. Sauf au nord, je remarquai qu'il y avait quelques montagnes, et un peu de verdure...mais c'était vraiment loin, trop loin pour moi dans mon état. Comme j'ouvrai les yeux, un homme, manifestement un arabe, me faisait couler de l'eau dans la bouche. Je m'étouffai un peu, ma gorge étant aussi asséchée que si j'avais avalé quelques poignées de sable. Puis, j'en but un peu, et je me redressai.

Bon, l'air de rien, faudrai que je trouve un moment de m'éloigner de ces gens moi, du moin un moyen de me sortir de cette situation qui était, pour le peu qu'on puisse en dire, pas vraiment habituelle. Et puis bon, si j'avais a faire un bout de voyage avec ces gens la, bah autant essayer de me fondre dans la masse quoi.

-Merci pour l'eau,dis-je a celui qui m'en avait fait boire, hochant la tête en signe de salutation.

Pendant que je m'étais tourné vers lui, une humaine se réveilla, a quelques mètres de nous. Non, pas une humaine, ses traits étaient trop fins pour qu'elle soit humaine.En remarquant ses fines oreiles pointues, je remarquai que c'était une elfe.Même, plutot belle pour une elfe, avec de beau yeux bleus et des cheveux noirs de jais. Mais elle avait quelquechose d'étrange dans le regard. Une espèce d'étincelle de magie qui faisait qu'on était attirée par elle. Mais en même temps, elle portait les marques de la guerre, sur elle, on voyait de nombreuses cicatrice, et son regard,aussi magique soit-il, était force et sauvage. Mais je tournai presque instantanément mon regard après avoir croisé le sien, car ça me mettait mal a l'aise.

Je m'approchai vers elle, la moindre des chsoes étant de l'aider a se relever, quand soudain, elle prit une poignée de sable, et me l'envoya dans les yeux, m'aveuglant. En un éclair, elle était debout, un sabre dans chaque main.

-Je vois, on est farouche, mademoiselle,je crois qu'on va s'amuser un peu alors.
-Approche si tu le veux, chien! fut la seule réponse que la dame daigna me donner.
-A vous la première attaque, dans ce cas, dis-je en dégainant mon épée et ma dague.

Elle ne se fit pas prier. Chargeant a toute vitesse, elle m'attaqua des deux cotés a la fois, comme si elle essayait de me trancher en deux. Il s'en fut de peu, en croisant ma dague et mon épée, je réussis a bloquer l'attaque de justesse.Elle répliqua par un coup de genoux habile et bien placé, mais j'avais déja reculé, pret a réattaque. Cette fois ci, ce fut mon tour. Je feintai une attaque a la gorge avec ma dague, et de mon cimeterre, j'attaquai un flanc. Un block parfait de sa part! En un éclair, elle avait dévié ma lame avec un de ses sabres. Comme c'était intéressant, ça faisait longtemps que je n'avait pas eu d'adversaire se battant aussi bien.

Cette fois si, j'optai pour un truc subtile,mais qui marche souvent.Avec ma cheville, j'accrochai une de ses jambes, la tirant vers moi, tout en poussant l'elfe pour la faire tomber. Visiblement, ça marcha , car elle tomba par terre, sur le dos, et en échappa un de ses sabres. Pointant mon cimeterre en sa direction,je lui dit calment
-Mon nom est Tyler, enchanté.

Soudain, elle fit une pirouette arrière, et , en faisant preuve d'une rapiditée exemplaire, elle se releva en un éclair . D'un coup féroce de sabre, elle frappa ma lame d'une telle force que je la lachai. Elle l'attrapa au vol par la poignée, et, la pointant vers moi, me répondit :

-Je suis Ezekiel...tu combat plutot bien.

Un autre réveil avec un mal de dos épouvantable, j'avais dû me coucher de travers sur une roche... Ça n'était pas agréable du tout. D'autant plus que je n'avait presque plus de vivre et que je faisais pitié à voir, même pou un drow. Les seules choses qui faisaient en sorte que je n'ais pas l'air d'un pouilleux étaient mes cimeterres et mon piwafi, mon armure. Me relevant lentement, je me remit en route, espérant trouver le chemin.

- Dans le pire des cas, je vais mourrir de faim...

Mais ce n'est que maintenant que je remarquai le changement de température : l'air n'était plus chaud, mais froid, presque glacial. C'était vraiment étrange...

- Du froid ici? Il fait toujours chaud en Ombre-Terre, à moins que...

Une lueur d'espoir passa dans mes yeux rouges. Ce pourrait-il que j'ais atteint la tant convoitée surface? Ce pourrait-il que j'ais finalement atteint la fin de mes tourments? Pressant le pas, je suivais les courants d'air partout où je pouvais les trouver, tournant parfois même en rond. Ce n'est qu'au bout de plusieurs heures de route que j'entrevis, enfin, une lumière passer dans une ouverture.

- Enfin libre de ce monde pourrit!

Me jetant à l'extérieur, je plaqua ma main sur mes yeux. Je n'aurais jamais du me jeter à l'extérieur comme ça... Un astre rond et argenté brillait dans le ciel, projetant une intense lumière claire et des petits point lumineux parsemaient ici et là le fond noir...

- Aaaahhh... Ça fait mal!

Revenant à l'intérieur de la grotte, momentannément aveuglé, je me mit à réfléchir... Qu'avais-je apprit et retenu à Menzoberranzan, ma ville natale? Le monde de la surface était extrêmement dangereux et inhospitalier pour un drow. Le temps, à la surface, se divisait en deux cycles : la nuit et le jour. La nuit, un fond étoilé parsemait le lointain, accompagné d'un disque argenté nommé la lune. C'était aveuglant...

- Si je me rappel bien, certains drows affirment que même lorsque la lune et les étoiles sont voilées, nous devenons quand même aveugles... Je ne suis pas sortit d'ici.

L'autre cycle, c'était le jour. Si la nuit pouvait être cruelle, le jour, lui, était indéfinnissable. Tout était lumineux et clair et un énorme disque jaune-orangeparcourait le plafond bleuté, émettant sa chaleur sur le monde. Au début, ce monde aurait pu être plus prometteur, mais maintenant, alors que j'était sortit quelques secondes durant la nuit, j'avais été aveuglé. J'allais devoir sortir une fois par heures pour m'habituer peu à peu...

- Que m'a-t'on également dit...

Le monde de la surface avait des températures étonnament variées, contrairement à Ombre-Terre où il faisait toujours chaud. Le froid, très peu connut des drows, avait été ma première expérience. J'avais également entendu parler de la pluie et de la neige, même de la chaleur parfois plus insupportable que celle d'Ombre-Terre. Et ce monde, disait-on, était peuplé de races toutes aussi exécrables les unes que les autres et tuant les drows à vue.

- Sur ce dernier point, je peux peut-être admettre qu'ils ont eu raison... Mais il doit sûrement y avoir des gens sur cette terre qui pourront m'acceuillir comme je le suit.

Ainsi débuta ma première expérience à la surface... J'étais impatiant, mais également inquiet, de voir le jour...

Je n'avais jamais connu de réveil aussi douloureux, la chaleur m'étoufait, le soleil m'aveuglait, et le sable était littérallement brûlant.Il n'est déja pas facile d'être demi vampire en temps normal, c'est un calvaire encore plus important lorsqu'on se trouve dans un désert aride.
De plus, le fait de se trouver dans ce désert ne pouvais signifier qu'une seule chose, j'étais en territoire ennemie.
Au fur et à mesure que ma vue s'habituait, je vis que je n'étais pas seul, et que ces autres personnages ne se portaient pas vraiment mieux que moi. "mais qu'est-ce que je fout là, et qui sont ces gens ?" furent mes premières véritables pensées après avoir repris connaissance.
Bizarement, je savais que ces personnes ne représentaient aucun danger pour moi (des années de guerres et de combats incessants m'avaient au moins permis de présentir certains dangers), du moins, tant qu'ils ignoreraient mes origines vampires...

Je me réveillais lentement, couché sur le sable, j'entrouvrai les yeux, et le refermai aussitôt... Un paysage un peu sordide, pensai-je, après avoir tourné la tête quelque fois. Puis, je remarquai tous les corps allongés sur le sol, et, en retenant ma respiration, pris la décision de rester couché... La menace pourrait encore être présente, ou alors, au mieux, certains seraient encore vivants, mais quoi qu'il en soit, je ne devais pas me faire remarquer tout de suite. Quand tout à coup, un picotement me prit aux extrémités des doigts, et remonta à ma tête lentement. L'envie de saisir mon poignard et de saigner un corps, de lui trancher la carotide et la veine jugulaire, et de boire son sang à grandes goulées... j'avais si soif... puis, me rendant compte de l'absurde intensité de mon désir, je le refoulai rapidement et m'appliquai à avoir l'air mort, essayant d'oublier mon étrange pulsion. C'est à ce moment que mes sens se sont totalement éveillés, me permettant d'entendre ce qui se passait aux alentours. Apparemment, je n'étais pas le seul survivant.

Une chaleur écrasante s’abat sur tout mon corps. Face contre terre, je respire faiblement uniquement pour avaler du sable brûlant. Ma joue droite est très douloureuse dus a l’intense chaleur du sol, du sable enfaîte. J’ouvre faiblement un œil, le gauche, et vis du sable. Sable ? Je ne me rappelle pas d’avoir dormi dans du sable…. enfaîte ou avais-je dormi hier ?

Je laissa échapper un gémissement, mais bientôt je bougea mes deux bras engourdis pour les placers sur le sable brûlant et poussa pour me lever. L’opération fus un peut fâcheuse, mes bras étant terriblement engourdie, mais après quelque longue seconde a reprendre mes sens je réussi a me mettre debout.

Un paysage sec et désolant s’étendais partout autour de moi. De grande bute de sable, un soleil écrasant, des corps… des corps !? Mais que… je me prépara a sentir une odeur atroce, mais, bizarrement aucune odeur indésirable ne se dégageait de ceux-ci, et ce fus a ce moment que je remarqua qu’il y avait des vivants. J’étais a quelque mètres d’eux, et ceux-ci me dévisageaient, mais je me baissa instinctivement et pris mon bâton. Une vive lumière fis briller les rune a mon arme, mais avec mon bras gauche je resserra les deux grandes attaches de cuir a ma poitrine pour garder ma robe magique en place.

Ils ne sont peut-être pas hostile, espérons. Mon bâton se mis a briller quelque peut, j’étais prêt a faire un sort d’invisibilité au moindre signe offensif. Une goûte de sueur tomba de mon front, mais je me mis a marcher lentement vers ceux-ci, ne cachant aucune méfiance.

...j'avais atrocement soif, soif de sang, par chance, je réussi à me siasir d'un scorpion qui passait par là,et profitant de l'inconscience des individus proches de moi, je le vida de son sang. "Mon maléfice m'aura au moin permi de résister au poisson" me dis-je en avalant par accident une partie du venin de l'annimal.
Après avoir rejeté le corp innerte du scorpion un peu plus loin, je me rendit compte qu'un individu, on aurait dit un sorcier, s'approchait de moi et du groupe d'inconnus, ma soif n'étant pas appaisée, je m'apprêtait à m'attaquer à l'individu pour me nourir, mais le fait d'être en plein jour, et dans un désert qui plus est, m'aurait certainnement fait perdre le combat. De plus, bien que restant méfiant, aucune crainte ne vint à moi à l'approche de cet inconnu, j'espérai jsute qu'il ne m'avait pas surpris à vider le scorpion de son sang.
Il n'était plus qu'a quelques pas de moi et des "autres"...

Assie de mon point d'observation situé à une distance à la fois confortable et sécuritaire... je regardais les mouvements du groupe, et les autre se réveillés, tour à tour... me demandant si je ne devais pas faire quelque chose pour éviter que certains ne viennent jamais à se réveiller.... je les regardais... homme, elfes, un halfelin, et même un vampire et un mage... qui se tenaient à l'écart... croyant passer inaperçus...

Je vis même un homme, qui se battait seul, dans le vide... visiblement, le soleil affectait plus gravement l'esprit des hommes...
la combat dura un moment... et son issue semblait nébuleuse... il dit son nom à la fin du combat... Tyler...
Quelque chose me disait, qu'il croyait s'être battu contre moi, peut-être la technique avec laquelle sont attaquant inexistant combattait...

La moitié de la journée avait passée, le soleil était maintenant à son plus haut.... et du haut de son Zenith, il nous observait doucement, tout en nous brulant littéralement les chairs... Je m'assurai que mon manteau couvrait bien tout mon corps, et que mon voile me cachait toujours le visage...

Je pris mes armes dans mes mains... et les examina... elles étaient immaculées... je n'avais pas combattue... comment se peut-il que l'on m'aille emportée en ce lieu insolite, sans même que je combatte... Je ne vois qu'une seule solution, ils m'avaient empoisonnée... ou peut-être soumise à un sortilèges... étais-je encore sous ces effets? Celui-ci allait-il causer ma mort... ou ma perte d'une autre manière encore plus cruelle?

Non, tant que je n'en saurai pas plus sur ces gens là... je ne peux leur faire réellement confiance...

Le temps de cligner les yeux, l'elfe contre laquelle je me battais il y a quelques seconde avait disparue! En tournant la tête, je la vis,a une distance non négligeable de moi, assise par terre, ses lames au mains

Examinons les choses possibles.Soit elle s'est déplacée a la vitesse de la lumière, ce qui m'étonnerait fortement . Ou alors, c'est une hallucination due a cette maudite chaleur.Ce que je hais la chaleur et le sable, je les hais. Et on dirait que c'est pas pret de s'arranger. J'en conclu donc que c'était une hallucination, et que si on bougeait pas vite, je serais pas le seul à en avoir, et ça , ça risquait d'être moin joyeux.

Je décidai donc de regarder les gens qui étaient ou semblaient plus ou moin réveillées. Un elfe blondinet , un mage surement vu sa robe.Près de lui, un homme a la chevelure aussi sombre que ses vêtements d'un noir plus noir que la nuit au teint très palot. Une demi portion au cheveux hirsutes qui avait un air comateux et portait des vêtements de roublards.Un homme qui avait certain très elfiques,mais portait de long cheveux bruns et une fine barbe.Il y avait aussi ce guerrier arabe qui m'avait donné un peu d'eau a mon réveil. Et la dernière mais non la moindre,l'elfe a la beautée remarquable.

Bon, avec tout ces gus la, on est pas beaucoup avancés. Faudrait faire bouger les choses, sinon on va crever ici et les vautours vont se nourrir de nos carcasses.

Je décidai donc de m'approcher un peu des autres, rangeant mon épée et ma dague, et je décidai de prendre la parole.

-Écoutez-moi, tous, commencai-je a voix haute. Je sais pas ce que je fais ici, j'en ai vraiment aucune idée. A voir vos airs confus, on dirait que vous non plus. Par contre, je sais une chose. C'est que si on bouge pas, on est mort dans peu de temps, vu la chaleur étouffante qui fait ici. Et moi, je mourrerai pas sans rien faire en plein millieu de ce désert maudit. Dès que la nuit vas tomber, j'irai vers le nord, dis-je en pointant des montagnes lointaines. Je vais prendre des bouteilles d'eau et des provisions sur les mort, et je m'en irai dans cette direction. Mais je me dit que si on est tous réunis ici, doit avoir une raison, aussi étrange soit-elle. Donc, voici ma demande. Je vous demande, tous, aussi étrange que vous soyez , de m'accompagner vers le nord, peux-être trouverons nous des réponses a ces questions qui nous accaparent l'esprit. Acceptez-vous?

Du blanc. C'était la seule couleur que je voyais. Je ne pouvais pas le voir, mais je savais que je pleurais également de douleur. Si la lune avait été douloureuse, le soleil, lui, avait été impitoyable. Le simple fait de mettre ma tête au-dehors de la grotte avait suffit, selon moi, à m'aveugler pour toujours. Non seulement le soleil m'avait fait mal, mais chaque grains de sable reflétait chacun de ses rayons. J'avais crié de douleur et je m'étais caché sous mes vêtements et ma cape. C'était bien plus pire que tout ce qu'on lui avait apprit à Menzoberranzan à propos de ce soleil.

- Quelle folie... soupirais-je.

Ma vue, avec les heures, revint lentement. Je recommencais à distinguer les formes et les couleurs. Entre temps, je réfléchissais et je mangeais les restes de mes maigres provisions en espérant qu'Eilistraée m'envoie un miracle. Mais c'était trop demandé, même pour la déesse. Si les membres de mon clan aurait pu me voir, ils auraient ris de moi jusqu'à l'humiliation totale avant de me sacrifier à Lolth.

- Me reste plus qu'à recommencer dès que je le pourrai... Ce n'est pas le temps qui manque de toute façon, juste des provisions.

Ce type vient de manger un scorpion...

Des tarés, pensai-je, et en réalité peu sont morts ! Vu leur nombre et leurs tête, je ferais bien de ne pas m'opposer à eux pour l'instant, de d'arrêter de feindre d'être inconscient. J'espère qu'on ne s'entre-tuera pas. Qu'est-ce que j'ai soif !

Je me mets d'abord sur mes genoux, puis sur mes petites jambes, péniblement. Dans le silence du désert, j'entendais que la magie était présente chez au moins un des hommes proches.
Sans même m'en rendre compte, j'avais saisi un de mes poignards.
Le contact prolongé avec le sable brûlant m'avait à moitié assomé et je préférais ne pas essayer de compter les gens autour de moi. Je me focalisais sur la demande du grand type à l'air plus ou moins impitoyable.

- J'accepte... mais le chemin risque d'être très long. Vous n'auriez pas un peu d'eau ? J'ai soif... Maudit désert, comme vous dîtes. Vous non plus vous ne vous souvenez de rien ?

Ce n'était pas vraiment une question.

J'ai comme l'intuition que quelqu'un ici en sait plus que les autres. En effet, pourquoi on nous aurait laissé ici alors que "on" n'a aucun moyen de savoir où nous sommes... Et cette perte de mémoire, mais sans aucune blessure... Nous ne pouvons nous être battus, mais alors, quoi ? Vu la disposition des corps, je dirais qu'on ne nous a pas amenés ici, mais rien n'est à exclure... Il n'empêche que si nous étions là, nous pouvions nous promener ensemble à la recherche d'un trésor qui était en fait piégé, comme nous apprêter à nous étriper mutuellement... Qui ne connaît pas son passé est condamné à le répéter... Si seulement je savais...

J'étais sorti de mon état de semi-torpeur et pouvais compter les... hommes ? Il n'y avait pas que ça. Réalisant que personne n'était capable de me fournir de l'eau plus vite que moi-même, je trouvais rapidement une gourde au trois-quarts vides sur le sol et la finis rapidement. Le gosier moins sec, je poursuivis, après mes silencieuses refléxions

- Je suis Guren... Guren Trusmor, et je suis.. un voyageur. Et vous, que je sache avec qui je marcherai ?

Evidemment, je ne suis pas un voyageur comme je l'ai laissé comprendre, mais bon, si ça peut me tenir en vie...

Ainsi, cet inconnu nous proposait de voyager avec lui. N'ayant pas vraiment le choix,j'acceptai sa demande.
"J'accepte de venir avec toi, car il y a plus de chances de vivre en te suivant qu'en restant ici à étouffer comme un rat, cependant, je ne crois pas te connaitre, alors n'essaie pas de me jouer un tour, ou tu périras dans la souffrance".Je dis ceci tout en vérifaint discrètement si mon poignard était toujours en ma possessions, caché sous ma longue cape noire. Cependant, je prenais un risque énorme, en plein jour, je n'avais aucune chance de gagner un combat.

Je me levais... se faisant je démontrais toute la grâce de mon peuple... Je fis quelques pas vers le groupe... Tous se reviraient et me regardaient fixement.... je ne détournais pas mon regard du "chef" du groupe, enfin, celui qui semblais avoir pris le pouvoir pour le moment, car tout ceci finirais bien dans un bain de sang un jour ou l'autre... encore par une lutte de pouvoir.... je décidais finalement de m'avancée plus... jusqu'à n'être qu'à quelques centimètres du "chef"... je le regardais droit dans les yeux, celui-ci demeura figé sur place, à cause du pouvoir secret de mes yeux... sans plus attendre, je dis "Je ne vous suiverai pas..." d'un calme incroyable, mais pourtant, mon ton démontrais toute ma haine pour ce groupe...

Je retournai promptement à ma place, là où mon maigre bagage m'attendais...

Le groupe semblait troublé de ma décision, mais surtout il semblait étonné de ma présence et du fait que j'ai bougée...

Mes réelles intentions étant de les suivrent en cachette pendant un moment, histoire de les observer un peu plus pour connaître leur vraies natures à tous.... et savoir s'ils méritent ma confiance et ma présence...

Je me retins d'accuser directement la femme comme responsable de tout ceci. Mon intuition pourrait se révéler correcte, pensai-je. Je n'ai pas de mal à l'imaginer comme un espion, ou pire, notre agresseur, vu son attitude.
Dans un flash, je la vois approcher derrière moi avec une dague pendant mon sommeil.
C'est absurde. Elle nous aurait déjà tué... Il n'empêche que cette vision m'a fait redoubler de prudence à son égard.
Je ne devrais pas être autant paranoïaque. Il est normal qu'un membre de sa race ne se mêle pas directement à nous, me dis-je, mais elle a vraiment l'air de croire que nous sommes ses ennemis.
Peut-être le sait-elle plus que nous. Je me fis surprendre par cette pensée.
Quoi qu'il en soit...

- Et pourquoi donc ne viendriez vous pas ? Je sais qu'aborder les choses de cette manière n'est pas très chevalier, mais avec nous, vous nous serez d'une aide certaine, tandis que si vous ne venez pas, vous devrez quand même prendre ce chemin, qui est le plus logique, puisque celui vers la boisson, et nous sommes en plein désert. A moins que vous n'en sachiez plus que nous ?

Je prononçai cette phrase sur le ton de l'accusation.

- Et finalement, en vous affichant si haineuse envers nous, vous m'avez obligé à déduire que vous représentez une menace potentielle, alors je préférerais vous avoir à l'oeil.

En attaquant verbalement de cette manière, pour la sécurité du groupe, je m'assurai le soutien d'au moins les deux brutes.

Je ne lâchai toujours pas mon premier poignard, et me préparai à saisir le deuxième et à utiliser les intéressants pouvoirs de l'autre contre un éventuel agresseur. Sans le vouloir, je ne cherchai soudain plus à me protéger de la femme, mais de tout le groupe autour de moi. Je révisai subtilement ma position pour parer une attaque venant uniquement d'elle, et me mis à attendre.

J'observai tour à tour les personnes qui m'entourraient. La femme semblait méfiante, une fureur et une violence innoui semblait émaner d'elle. Le petit homme, était fier, et semblait habile a se battre, malgré sa petite taille. L'homme qui s'était battu contre un ennemi invisible devait être exellent combattant, malgré sa folie apparante, il était maintenant lucide devait pouvoir m'aider. Quant à l'homme qui tentait de se cacher derrière une dune, tennant ce qui resemblait a une poupée de chiffon, il semblait d'une stupidité exemplaire. Il s'était caché certes, mais son ombre le révélait a tout le groupe... Puis, une poupée dans le désert....

Je pris la parole, une des hommes voulant etre suivi par nous, et ayant déja trouver un suivant, je dit alors: ''Je m'apelle Miseph Saïdeh, et vous me suiverez vers les montagnes, je connait les danger du désert(je ne savait pas pourquoi, mais je les connaissait), et c'est une des seul choses que je sais. Je ne me souvient de rien, mais personne ne peut vous guider aussi bien que moi dans cet enfer de sable éternel.''

Puis , je m'assis dans le sable chaud et sarti mon sabre. Je l'observai tranquilement en attendant des réactions...

" Faire confiance à un homme du Sud...Jamais !!!. Les hommes de ton peuple ne cessent d'attaquer les miens, alors comment puis-je avoir confiance en toi ? "

J'avais dit en dégainant mon glaive et mon poignard.
Je tenais avec force mon glaive dans ma main droite, et je serrais fermement mon poignard dans ma main gauche, la lame pointant vers le bas. Je n'avais aucune chance de gagner le combat dans ce maudit désert, en plein jour, face à un guerrier du Sud, qui était donc chez lui, et qui disposait donc d'un avantage énorme, mais je préférais mourir en combattant, plutôt qu'en me faisant lachement poignarder durant mon sommeil. Cependant, j'espérais que le combat n'aurait pas lieu, car ce serait ma fin. De plus, je sentais que cet individu n'était pas mauvais dans le fond. J'attendais sa réaction, espérant que celui-ci choisirai de ne pas se battre.

En un éclair, j'empoignai mon cimeterre , et prit une dague de lancer de l'autre. Très rapidement, je m'interposai entre celui qui s'apellait Miseph et celui qui était vêtu de noir, sur lequel je pointai ma lame.

-Toi, tu te calme, ou l'histoire vas mal finir, crois moi, dis-je, autoritairement. Tu range ta lame et ton poignard, et tu vas gouter des miens. Et ça vaut pour vous tous, dis-je, en montant le ton! On est dans le désert, au plein millieu d'on ne sait-ou, on est pas ici pour se battre! Et oui, le halfelin, ça vaut aussi pour toi, bien que ta méfiance envers les autres me montre que tu a un peu de sagesse. Miseph, lève toi, je te suis, ainsi que les autres, du moin, je l'espère.

Je regardai l'arabe ramasser une gourde qui trainait sur un cadavre, je fis de même. Puis, il se leva, et regarda au nord, la ou était notre avenir.

-Ramassez chaqun le plus de provisions que vous pouvez ici, on part dans dix minutes.

Tous ces ordres m'agacaient.
"Et qui es-tu pour nous donner des ordres ? De quel droit oses-tu nous commander ?"
Ma décision était prise, je m'en irai à part du groupe.
La jolie Elfe était certainnement la plus rusée de ce groupe, elle avait été la première à refuser de suivre des inconnus.
Je pris à mon tour les objets les plus utiles sur les cadavres avoisisnants, à savoir leurs provisions, ainsi qu'une étrange carte qui, je ne le savais pas encore, allait s'avérer salvatrice par la suite.
Je partis vers le Nord-Est, là ou un pic de montagne lointain avait attiré mon attention, du fait d'une étrange lueure qui se dégageait de son sommet. De plus, cette direction me permettait de suivre en parallèle le groupe d'inconnus, à disatance suffisante pour les surveiller, tout en évitant cependant de me faire repérer par ceux-ci.
Je laissais ainsi le groupe à son propre périple, me dirigeant vers le mien.
Le destin allait cependant nous réunir bien plus tôt que je ne le croyais...

Je les regardais.... dégoutée... ils osent piller des morts!... comment pourrais-je faire confiance à des gens qui me tueront pour me voler mon matériel?
Décidement, ma décision est la meilleure, hors de question de rester au milieu du groupe... et de leur laisser croire qu'ils pouvaient compter sur moi...
Une chose est certaines, à partir de maintenant, je garde mes armes à portée de la main... et je ne devais surtout pas les regarder dans les yeux... ce n'était pas le moment d'attirer leur attention...

La douleur était devenue insoutenable. Je n'avais pas eu le temps d'en massacrer ne serait-ce qu'un seul ; Une crampe m'avait terrassé, et m'arracha un cri de douleur. Il ne me resteit qu'une seule solution, qui n'était pas la meilleure : consommer un champignion. Ce n'était pas recommandé en état de déshydratation intense, ni en cas d'insolation, mais je n'avais pas vraiment le choix. Mieux vaut avoir ses capacités motrices largement réduites à cause des hallutinations que ne pas avoir de capacités du tout. Plié en deux à dause de la douleur, je fouillai dans une sacoche, et je trouvai un petit champignion, tout bleu et tout rond.Je l'ingurgitai sans autre forme de cérémonie, et je commancai à rêver, pendant que la douleur s'estompait. Je repensai à la cause de mes souffrances : une mauvaise utilisation de mon art. Le vau-dou est dévastateur, certes, mais il l'est encore plus pour l'utilisateur lorsque cet art est mal utilisé. J'en ai sans doute fait l'expérience, de toute facon je ne me souviens de rien, seulement du vau-dou.
Est-ce que les personnes qui se penchent au-dessus de moi connaissent le vau-dou ? Ou alors ce ne sont que des hallucinations...

J'approuvai d'un mouvement de tête les actions de l'homme essayant de calmer le groupe. La meilleure solution étant de nous entre-aider, au moins jusqu'à une source d'eau.

Un homme du désert... Bien, voilà qui nous sera utile, pensai-je. L'elfe ne m'a pas répondu. Cela signifie soit que j'ai raison, soit qu'elle n'a pas entendu, soit qu'elle ne juge pas utile de me faire savoir ce qu'elle pense de moi. Ca part mal.

- Très bien. Partez seuls, si vous vous préoccupez plus de la santé des charognards qui peuplent le désert que de la notre.

Je le dis sur le ton de la plaisanterie, ne mettant aucun hostilité, de peur de m'attirer des ennuis.

- Mais si je vous retrouve dans une semaine, sur le sol, mourrant de soif, ne comptez pas sur moi pour me défaire de ma gourde.

J'en récupérai justement une, en plus de quelques provisions. Puis je ramassai une dague tombée à terre et la dissimulai dans la "poche" de mon avant-bras, simulant de me dégourdir les jambes et de me gratter pour que cela passe inaperçu. Je revins vers le groupe et attendis qu'ils, ceux qui n'ont pas décidé de marcher seuls, finnissent de se préparer.