Textes écrits par Azmaek

J'aurais jamais du lui dire
Maintenant j'aurais envie de mourrir
La réponse jla connaissait
Mais j'ai posé la question
Comme un sale con
"J'taime qu'en ami , ça t'dérange pas"
Mais non bordel ça m'dérange pas
Pourquoi tu crois que j'suis en larme
Écroulé devant toi

Maintenant ma vie a plus d'but
J'ai seulement l'air d'un trou d'cul
J'en ai marre des "Jtaime comme ami"
Tu pourrait pas dire au moin tu m'haïs

J'aurais jamais du lui dire
Maintenant j'aurais envie de mourrir
La réponse jla connaissait
Mais j'ai posé la question

La question fatidique
Qui me donne un air pathétique
Que pense tu de moi
Un pauvre gars

Et si en ce monde quelqun mérite ton amour
Celui qui t'aime le plus , c'est moi pour toujour
Mais non tu ne m'aime pas
Chuis vraiment si moche que ça?
J'aurais jamais du lui dire


Maintenant j'en arrive a la seule solution
J'vais aller m'écraser sur le béton
C'est peut être une solution fatidique
Mais chuis vraiment pathétique

J'rendrai surement un service a la sociétée
En essayant d'me tuer
Du treizième étage j'me suis élancé
Et j'me suis totalement écrasé

J'aurais jamais du lui dire
Maintenant j'aurais envie de mourrir
La réponse jla connaissait
Mais j'ai posé la question
Et maintenant j'ai l'air con
Mais heureusement , les mort n'ont pas de remord
Oubliez moi , j'suis déja mort

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Sonya , j'meurt d'amour pour toi
Déja on est ami , ya ça
Mais tu t'rendras donc jamais compte
Que ton amour c'est tout c'que j'escompte
Dans la lumière ou la nuit noire
Jpense toujours chaque jours et chaque soir
T'est ma lune dans la nuit , t'est mon soleil dans le jour
J'voudrais seulement qu'on puisse être enssemble pour toujours
Tu m'demandras tout cque tu voudras
Jte jure jte décevrai pas
Mon amour , Sonya
J'décrocherais même la lune pour toi
Même quand j'essait d'me retourner
Et dans mon coeur de t'oublier
Ya qu'une pensée qui me vien a l'esprit
J'veut qu'on soit plus qu'ami
J'ai beau essayer de t'ignorer
J'ai toujour la même pensé
J'meur d'amour pour toi Sonya
Mais toi tu l'comprend pas
Ya pas assez d'amour sur cette terre
Et je doute même que dans l'univers
Assez d'amour puisse exister
Pour expliquer a quel point j'peut t'aimer
J'voudrait m'enfuir
J'voudrait m'auto détruire
J'veut changer de maison , de pays
J'veu dégager , j'veu plus être ici

Et pourtant on en arrive toujour a la même conclusion
L'ultime pensée qui hante mes passiosn
Ya pas assez d'amour sur cette terre
Et je doute même que dans l'univers
Assez d'amour puisse exister
Pour expliquer a quel point j'peut t'aimer
Tu sais que mon amour pour toi
Aussi longtemp que les étoiles il dureras
Mais pour cqu'i en est de moi
J'espère qu'un jour tu m'aimera


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Je ressent cette douleur
Jusqu'au plus profond de mon coeur
Mais c'est la solitude
Qui ma donné cette attitude

J'en peu plus , la vie ça craint
Jveut plus vivre, ça c'est certaint
Avec une discussion avec un d'mes copains
J'me rend compte a quel point j'ai l'air d'un crétin

La solitude m'a totalement brisé
C'est pourquoi j'écris ce truc a chier
Pour exprimer cqui vien d'mon fond
J'men fou pas mal si c'est pas bon

Mais au moin ça fait du bien de s'exprimer
Dans des moments aussi difficiles a endurer
J'écris peut être des trucs a l'air déprimant
Mais ça vien d'mon coeur ,c'est c'qui est important

Ainsi tel un aventurier
J'ai même plus peur dle crier
Alors jle crie une dernière fois
Jcrois bien qu'la vie c'est pas pour moi

Jamais eu d'petite amie
Et encore moin d'meilleur ami
Tout ces ptits moments durs dla vie
Ça m'fais d'mander cque jfais ici

Jdevrais normalment en profiter
Mais a la place , jsuis d'vant mon clavier
A écrire des ptit trucs fucké
Avec mon air d'gars déprimé

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Sorceress, get out of my mind
Because of you , i think im blind
I cant see nothing exept your beauty
Leave me alone , please let me flee

Not just a bad curse
This is getting worst
Your the angel that haunt my nightmare
With you , my life's a real dream

But...
I dont wanna love you!
I dont even wanna think about you!
Stop your curse, it is getting worst!

When i was standing in the rain
I thought about how my life was a pain
Leave me now , stop this right now
I dont wanna be your slave anymore

At least, kill me
So i'l be free from you
Finaly...free to forget you

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Tell to the demon called god that he made a stupid thing
He's damn world aint worth nothing
War , murder , the reign of the terror
The allmighty make an error
He made the man , the only thing
That can build or destroy anything
Can anybody make that fucking world burn?
Make all the corpses get eated by the worms
Demon , go back to where youre from
Your world is a shit , its all gone
Lets that damn humanity
Finish his own tragedy
Were all damn , got want it
Than , last message for that allmighty idioty
Im a human , shame on me
But then , we can resume your world to thoses world
Anarchy , idioty , tragedy, slaugthery
Thats all gone , damn demon

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L'amour , la haine
Mon coeur se déchaine
Des cris, des pleurs
Elle m'a brisé le coeur

Depuis un an maintenant, chaque minute me fait souffrir
Par pitié achevez moi , j'ai envie de mourrir
Son image me rend fou
Sa beautée me rend jaloux
Jaloux de chaque personne qu'elle a touché
Jaloux de tout les hommes qu'elle a un jour embrassé
Jlui enmenerait la lune ça serait pas assez
Jlui ai donné mon coeur elle a refusé
Que vais-je devoir faire pour lui démontrer mon amour
A elle, celle que j'aime depuis toujour

Pour elle, je surmonterait monts et marais
Pour elle, je traverait le monde d'un trait
Peut importe ou elle pourrait se cacher
Mon amour serait assez fort pour la retrouverMais tout cela me rend fou
Finnissons ens et c'est tout
Une balle dans la tête, la vie recommence
Et je sombre de plus en plus dans la démenceSeul dans le noir, mes idées sont sombres
Souvent, je m'imagine au fond d'une tombe
Fait la souffrir, une part de moi me mumure
Fait la souffrir, avant que ton agonie perdure
Serait-ce une bonne idée?
Ou cette histoire m'a trop affecté
Peut importe, je sombre dans la folie
La tragédie, c'est l'histoire de ma vie

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I dont wanna be
Alone anymore
Running away
And close the door

Everytime , each second on the earth
I am alone, it realy hurts
Another that makes me mad
I think to that, it makes me sad

Feeling are the most dangerous weapons
That can kill you , easyly as a gun
Its so crazy
How feelins can hurt somebody

Another man
Who falled in the insanity
Another man
Broke by the humanity

Killed by the loneliness
What's left to me ?
The madness is the answer
Madness,loneliness, murderer
Loleniness causes madness thats a
A mess in my head, im going insane
What the fuck is that, am i to blame
Thinking how the feelings can hurts somebody
The loneliness can kill him easyly

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Un jeune homme qui marche seul dans la rue
Ou il va il ne le sait plus
Trainant le poid dla solitude
C'est vite devenu une habitude

Les noirs nuages qui se déchaient
Ceux qui semblent hurler de haine
Ainsi naît l'orage meutrier
Lequel reflète ses sombres idées

Car sans elle il ne vaut rien
Car sans elle il ne se sent bien
Sans elle il ne veut plus vivre
Espérant qu'la mort le délivre

Tel le capitaine d'un bateau échoué
Duquel l'équippage se serait échappé
Ses tout derniers mots dans son journals de bord
Furent écrits : Oubliez-moi, jsuis déja mort


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Ici git le dernier des imbéciles
Sa vie est une histoire ratée
Tout seul sur son île
Il voudrait tout recommencer

Mais il est déja trop tard
Il s'est perdu dans un cauchemard
Que l'on appele réalitée
Triste amour, maudite amitiée

Aveuglé par l'amour
Détruit pour toujours
Perdu dans l'ombre
Il sombre, il sombre...

Et toutes celles qui l'ont brisé
Et toutes celles qui a aimé
Pourront se rappeler dorénavant
D'un gars qui les aimait tellement

Il leur aurait ramené des fleurs
Mais ce n'étais pas assez
Il leur avait donné son coeur
Mais d'une seule phrase elles l'ont brisées

Elles ne disaient pas la véritée
Mentant pour garder son amitiée
Mais comment peut-on aimer
Quand un coeur a été tant brisé

Et il sombre, et il sombre...
Il est déja trop tard
Dans les ombres, dans les ombres...
Il s'est perdu dans un cauchemard

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J'arrive plus du tout a dormir
J'ai même plus le gout de sourire
J'ai plus aucune motivation
Perdu mon imagination

Plus de rêves , que des cauchemards
Les rares fois ou j'me perd dans le noir
A l'instant ou je clos mes yeux
Me reviennent des souvenirs hideux

Maintenant je crains le sommeil
Ancien royaume de merveilles
Il ne reste que cauchemards
Et moi, seul, a broyer du noir

Et cette malsaine insomnie
M'amène lentement vers la folie
Ce démon qu'est la folie
La conséquence de l'insomnie



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Mourrir
Un peu plus a chaque fois que je la vois
Mourrir
D'espérer que celui qu'elle aime ça serait moi
Mourrir
Car a chaque fois que je vois son visage ça me fait


Souffrir
Un peu plus a chaque seconde ou je pense a elle
Souffrir
Elle est si parfaite, tel un ange au blanches ailles
Souffrir
Et a chaque nuit rêver d'elle quand le moment vient de

Dormir
En revevant d'elle a chaque nuit
Dormir
Sous l'emprise d'un rêve éternel , nous danserions haut dans le ciel
Dormir
Pour ne plus jamais m'éveiller, éternellement a ses cotés

Et ne plus a voir a sentir le besoin de

Détruire
Tout ceux qui plus que moi sont heureux
Détruire
Tout ceux pour qui va pour le mieux
Détruire
Tout les couples et les amoureux

Ou peut être même

Périr
Dans un asile, parmis les fou et les tueurs
Périr
Car voici venu ma dernière heure
Périr
Car il n'y a que ton amour qui pourrait faire mon bonheur.

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Un nouvel échec, une fois encore
Un nouvel échec, une autre mort
Plus tu tombe de haut plus ça fait mal
Et a chaque fois ça t'détruit l'moral

T'essaie de te faire croire que ça t'fais rien
Et que dans le fond tout est bien
En véritée tu te trompe
Car t'as quand même un pied dans ta tombe

Une autre ame brisée
Un autre coeur transpercé
Le temps va passer,t'inquiète pas
Mais la douleur s'en iras pas

Tu tombe dans la déchance totale
Au plus bas coule ton moral
Toi c'est quoi ta solution
Parce que moi j'ai choisis l'abandon

Quand t'a rien a perdre rien a gagner
J'vois pas pourquoi t'essaierais de changer
Une situation qui dans tout les cas vas recommencer

Une autre ame brisée
Un autre coeur transpercé
Un autre corp a l'abandon
Du corp qui tombe on entend le son
Les veines tranchées , l'âme torturée
Son histoire est terminée


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Julie j'sais pas comment tle dire
Mais j'sais comment l'écrire
J'taime vraiment a mort
Mais j'connais pas de mot assez fort

Pour exprimer mes émotions
Et toutes mes illusions
Quand je m'endors en pensant a toi
Et que j'rêve de toi et moi

Le lendemain la vraie vie reprend l'dessus
C'est toi et moi et un rêve déja perdu
La meilleure nuit de m'a vie
Car pour une fois Julie

J'étais a tes coté, heureux
Y'avais plus rien qui comptais sauf nous deux
C'était milles fois mieux que le paradis
Grâce a toi, Julie

J'crois que je vais essayer de m'endormir pour toujours
Et éternellement rêver de l'amour que j'ai pour toi
Essayer de rattraper ce rêve
Essayer de t'attraper et te dire
A quel point j'peux t'aimer

J'ai l'impression de vivre en noir et blanc
Chaque jours est de plus en plus chiant
Une copie d'une copie d'une copie
A un tel point que j'en suis réduis

A écrire ces quelques lignes pour me désennuyer
M'enfoncer dans le crane que j'ai des raisons d'exister
Un autre moyen parmis d'autre de me changer les idées
Une vie déja trop photocopiée

J'ai l'impression de vivre en noir et blanc
Dans une mauvaise émission de télé déja redifusée
Le monde a perdu toutes ses couleurs
En même temps que toute sa saveur

J'en suis réduis a vivre a temps partiel
Attendant le prochain événement qui me sortiras
De ma damnée routine éternelle
De cet ennui perpétuel

J'en suis réduit a écrire pour me désennuyer
Me faire croire que j'ai des raisons d'exister
Quand le monde a plus de couleurs
Quand j'menfonce dans la noirceur

Amour Sanglant

-Émile, tire sur la gâchette ou ta vie vas se terminer dans une fraction de secondes! lui
cria Jeff.

Il l'avais rencontré par hasard, un matin de Mai. Jeff était encore innocent, a cette époque. Il ne connaissait rien de la vie, c'était le bon ami par excellente, l'ami auquel on racontais tout ses secrets sans peur d'être trahi. A cette époque la, le jeune homme était encore sain d'esprit, plein d'espoir envers l'avenir, il croyait encore que le monde était un film a la fin heureuse.

Mais tout a changé depuis ce jour. Ce jour là, un coup de foudre le frappa en plein visage, meurtrissant son cœur comme rien d'autre avant. Elle était si belle qu'on aurait dit que c'était Dieu lui même qui dans un excès de folie avait crée une créature trop magnifique pour qu'aucun homme ne puisse la posséder.

Un simple mot de sa part, "Pourriez-Vous me dire quelle heure est-il?" et il était tombé sous le charme. Et ils discutèrent, et ils discutèrent, et finirent par devenir de bon amis. Des amis. Rien de plus.

Jeff ne voyait pas les choses comme ça. Dorénavant, c'était elle qu'il voulait, elle et personne d'autre .Peu a peu, le Jeff innocent et plein d'espoir disparaissait. Des jours passèrent, puis des semaines, puis des mois, avant qu'il n'ose lui demander la question a laquelle il espérait tant avoir une réponse : Je t'aimes, et toi, m'aimes tu?"

L'espoir nous nuit tous . En tant qu'être humains, nous espérons toujours. Nous espérons être en santé. Nous espérons gagner à la loterie. Nous espérons que demain le temps soit meilleur qu'aujourd’hui, nous espérons que notre ami d'enfance réussisse a venir nous voir ce week end.Plus souvent qu'autrement, nous sommes déçus. Et sans espoir, pas de déceptions, logique non?

Accepteriez vous de ne plus jamais espérer a quoi que ce soit, dans le simple but de ne plus jamais être déçu de quelconque façon que ce soit?

Emilie fut surprise lorsque Jeff lui posa cette question. Elle n'avait jamais imaginé une seconde qu'il puisse l'aimer d'une façon autre que l'amitié. Peux-être était-elle un peu naïve, qui sait?Dans tout les cas, la réponse resta la même: "Je t'aime bien, mais en tant qu'ami"

Ce fut comme si quelqu'un avait prit tout les rêves de Jeff, puis les avait écrasés et réduit en miettes. C’était le genre de coup dont on ne se remet pas.

Une seule phrase lui trottait dans la tête. Pourquoi ne l’aimait-elle pas?
Une fois, puis deux, puis un millier de fois. Il en passa des nuit blanches, assis dans le noir a se demander…pourquoi?

Une réponse lui vint a l’esprit, aussi tourmenté était-il. La réponses était simple , et bien encrée dans son esprit : Il n’était pas assez bien pour elle. Était-ce la vérité? L’amoureux ne s’en préoccupait pas. Pour lui, il n’y avait plus d’espoir, plus de futur, plus de passé. Il n’y avait qu’elle, lui, et les gens qui tournaient autour d’elle , tout les autres, ceux qui risquaient d’avoir plus de chances que lui.

C’est a ce moment ci que les choses commencèrent a mal tourner. Si il ne pouvait pas l’avoir, pensait-il, personne d’autre ne l’aurait. Elle était trop bien pour que quiconque mette ses mains dessus. Une idée plutôt étrange lui vint en tête…mais peut-être qu’elle comprendrait ainsi a quel point il l’aimait.

-Jeff, tu me fais peur! Pourquoi tu veux que je te tire dessus? Lui dit Émilie, des larmes dans ses yeux, sa voix tremblait pendant que la pluie commençait a tremper ses beau cheveux bruns au mèches blondes.

Il avait réussis a se procurer deux pistolet d’un calibre assez fort . Un soir, lorsque Émilie sortit de chez elle, il la suivit jusqu'à ce qu’elle sorte de chez elle et traverse une petite ruelle sombre. L’endroit était calme, on entendait que les claquement de la pluie qui tombait et les hurlements du vent.

Il s’était avancé calmement vers Émilie, puis lui avait tendu un pistolet qu’elle avait prit, sans trop comprendre ce que Jeff voulait faire, elle était effrayée mais une partie d’elle était toutefois calme et cherchais a comprendre ce qui se passait.

-Émilie, écoutes moi, commença-il .Je t’aimes, Émilie. Je n’ai jamais aimé quelqu'un a ce point, et jamais personne ne t’aimeras autant que moi. Vise moi et prend ma vie, ou c’est moi qui devrai prendre la tienne , et je n’aimerais pas avoir a le faire.

-Jeff, expliques moi ce qui se passe! Répliqua la jeune femme au yeux verts tout simplement magnifique.

-Je t’aimes a mort, Émilie. Je meurt d’amour pour toi, alors vite, écrase la gachette de ce pistolet et fait moi exploser le crâne.

-Jeff, on en a déjà parlé, je t’aime seulement en ami, mais c’est pas une raison pour péter les plombs…lui rétorqua-elle, un soupçon de peur dans la voix.

-Ma belle, écoute moi, c’est sérieux. Tu représentes plus a mes yeux que tout les gens que j’ai rencontré dans ma vie, que toutes les choses que j’ai faites, T’a pas idée a quel point ça m’a blessé le fait que tu m’aimes pas. On vas pas se le cacher, t’aurais pu simplement dire ça, ça aurait rien changé, ça aurait juste eu le mérite d’être plus clair qu’une de tes pseudo excuses pour pas blesser les gens! J’en ai passé des nuit blanches, Émilie, des nuit blanches a penser a ça, sans arrêt, a écrire des petit poèmes a la con sans intérêt pour essayer de faire sortir mon malaise, pourtant ça sert a rien. Rien ne pourras changer le fait que pour toi j’suis qu’un amis parmi des dizaines d’autres, et pas quelqu'un avec qui tu tomberais en amour. Mais moi, des amis, j’en ai assez comme ça!Avec une seule phrase, t’a brisé tout mes espoirs. Avec une seule phrase, t’a brisé tout mes rêves. Avec une seule phrase, t’a détruit ma vie!

-Mais tu dois comprendre…gémit-elle, les larmes au yeux, avant que Jeff l’interompe.

Jeff avait son arme solidement serrée dans sa main , pointée sur la tempe d’Émilie. De l’autre, il serrais la main de la jeune femme qui tenait elle même le fusil. Il la serrais fort, pointant le pistolet qu’elle avait dans la main collée sur sa propre tempe, pendant que la femme était terrorisée, des larmes coulant sur ces yeux.

-Non. Les excuses de ce genre, ça marche plus avec moi. C’est le temps de me dire au revoir, lui dit-il calmement a l’oreille. Il lui donna un petit baiser sur le front. Je t’aimais vraiment a en mourir, Bye, conclu-il.

Il pressa la gâchette du pistolet qu’il tenait contre la tête de la femme qu’il aimait, mais une fraction de seconde avant qu’elle ne soit pressée a fond, il retourna le pistolet contre sa propre tête. La balle fit un petit trou sur l’avant de son front, éclaboussant Émilie de sang, pendant qu’elle criait, venant de réaliser ce qui venait de se passer. La balle ressorti par l’arrière du crane de Jeff, laissant un cratère ou se mêlaient bouts de crane, morceaux de cervelle et un véritable océan de sang. Pendant que le corp inerte de Jeff tombait dans une flaque d’eau, Émilie tomba a genoux, en pleur, se demandant a son tour pourquoi, pourquoi, pourquoi lui était-ce arrivé? Elle avait été trop maladroite sentimentalement pour s’avouer qu’au fond d’elle même, peux –être y avait il de la place pour une histoire d’amour avec l’homme qui gisait devant lui. A son tour, elle prit le pistolet qu’elle avait dans les mains, se le colla sur la tempe, et pressa sur la gachette…

Les sentiments causeront la perte de l’homme.

Attention, ce texte contient un language mature et son visionnement est laissé a la discrétion du télespectateur

Tu vas travailler pendant 40 ans pour rien
40 ans a déprimer pour te payer des trucs dont t'as pas besoin
Est-ce que c'est ça la vraie vie, ou c'est seulement moi qui comprend rien
Tu te réveilles, tu vas travailler, et tu recommences le lendemain

C'est du pareil au même, tu photocopie des gestes
T'as une job de merde et pourtant ça te stresse
Après tout, faut travailler pour être payé ,pour acheter et pour se faire baiser
Parce qu'au point ou on est tous rendu, on pourrait payer pour se faire sodomiser

Par un supérieur véreux qu'on en aurait remercié
Un robot pourrait faire ton boulot, t'es peut être qu'un zéro
Ton patron te foutrait dehors sans t'en glisser un mot
Pour embaucher un autre idiot moin qualifié et mal payé

Est-ce que c'est ça la vraie vie, ou c'est moi qui comprend rien
J'ai jamais eu de vision réelle du futur , je m'imaginais mal vivre a la dure
Mais quand la réalitée te rattrappe elle frappe fort
Tu bosseras quarantes heures semaines jusqu'a ta mort


Ça te prend une maison , une voiture ,un boulot, une bite dure
Et une sacrée paire de couilles pour s'emmerder constament
A partir du jour ou on se rend compte que la réalitée c'est plutôt chiant
C'est le genre de chose qui donne l'impression d'être au pied du mur

Mais faut t'acheter une échelle pour passer par dessus
Ça te prend un parachute pour en sauter vu sa hauteur
Et un bon matelas pour un atterissage en douceur
Pour la modique somme de 899,95$ , taxes en sus[/b]

Même si Sébastien Lawson et sa bande d’amis avaient portés des vestes pare-balles ce matin la, ça n’aurait rien changé. Rien du tout. Quand on humilie publiquement un gamin de seize ans plutôt influençable jusqu'à le pousser a la limite du suicide, c’est ce qui arrive, parfois. Seize ans, premier de classe depuis sa plus tendre enfance, un vrai petit génie, qui, malgré le fait d’être de la nullité la plus totale en sport compense en étant a peu de chose prêt aussi fort en calcul qu’un ordinateur selon certain de ses professeurs. Alexander Jacobs , c’était son nom. Remarquez bien l’usage du passé dans cette phrase , vous comprendrez dans quelques minutes.

Et c’est le même adolescent qui tire balles après balles de fusil a pompe, communément appelé « shotgun » dans un ramassis de jeune sportif superficiels et imbus d’eux même qui déjeunait ce matin la a l’école secondaire Riverside.

Même si Sébastien Lawson et ses amis avaient portés des vestes pare-balles , ça n’aurait rien changé. Le Remington 870 calibre .12 est un fusil a pompe très populaires par mis les chasseurs ainsi que les services militaires et policiers au États-Unis. Ce qui signifie qu’il a été créé spécialement pour combattre des gens lourdement armés , les balles tirées par ce fusil ayant par conséquent une force de frappe assez puissante. Si on prend en compte qu’avec cette arme on devrait être en mesure d’abattre un chevreuil ou un cerf d’un seul coup avec une seule des huit cartouches que son chargeur contient ,on se rend compte que la cage thoracique ou la tête de l’adolescent moyen ne devrait pas leur opposer de grande résistance. C’est pourquoi pour Julia , la petite amie de Sébastien qui lui massait le cou a l’instant ou Alexander s’est avancé sur la place publique vers les deux amoureux et leur bande d’amis en sortant l’arme d’un grand sac de sport, l’usage d’une veste pare-balle n’aurait pas été utile non plus.

Plus que six balles

Mais comment une arme aussi dangereuse vient-elle en possession d’un adolescent comme Alex ,vous demandez vous peut-être? La réponse est simple : internet. Si on prend un adolescent plutôt axé technologies, toujours a farfouiller sur le net sur son ordinateur, a la recherche de connaissance ou d’autres choses. Qu’on ajoute a ça un père un peu distrait qui laisse sa carte de crédit a la vue de tous sur la table de la cuisine en revenant de faire les courses.

La plupart du temps, la livraison sur ce genre de site se fait en moin de sept jour , pour peu qu’on paie un peu plus. Mais bon , si on la carte de crédit en question ne nous appartient pas, qu’est-ce qu’on en a à foutre de payer deux-milles six-cents dollars pour une arme , aussi bien payer un peu plus pour l’avoir dans des délais raisonnables. Si on l’achète deux semaines avant du la fin du moi, une semaine de livraison , reste une semaine avant la facturation de tout ça. Mais quand on est un adolescent de seize ans qui a un peu pété les plombs, on se dit qu’on seras mort avant.

Un plan simple , et efficace.« Emprunter » la carte de crédit des parents .Acheter l’arme sur le net ainsi qu’une trentaine de balles, assez pour faire un sacré paquet de dégâts avant la scène finale. Replacer la carte a sa place, puis faire comme si de rien n’était. Alexander s’était bien informé des délais de livraison moyen pour ce genre de choses, lui aussi. Le mardi, il sèche l’école et attend le facteur devant chez lui, lorsque ses parents sont partis travailler , pour être surplace quand le facteur arrive. Il signe un papier, l’arme est a lui. Le mercredi matin , il vas a l’école, l’arme dissimulée dans son grand sac de sport, comme si de rien était.

L’abdomen de Sebastien et Julia est réduit a l’état de purée sanglante, ils s’écroulent dans une marre de sang . Leur cœur, leur poumons, leur foie , leur côtes, tout est criblé de dizaines de plombs meurtriers.

Pour ceux qui ne sauraient pas comment fonctionne la cartouche d’un fusil a pompe, voici une simple explication. Vous voyez, contrairement au balles de pistolet ordinaire, les balles de fusil a pompe ne sont pas composés que d’une douille et de la balle en tant que tel. Ce sont des cylindres de plastique, dans lesquels l’explosion de la poudre a canon propulse des dizaines de petit plombs de métal, qui ont l’effet destructeur que l’on connaît.

Alors que Sébastien et Julia s’écroulent par terre, Alexander se tournent vers leur amis, sous les cris terrifiés des étudiants et professeurs présents dans la salle. Comme dans la plupart des écoles secondaires, celle ci a une grande place publique d’ou on a accès au casiers, a la cafétéria, au locaux de cour…Pas la peine de tout vous expliquer, non? Les ‘sportifs’ comme Alexander les appelait , se trouvaient dans une petite estrade aménagée dans la salle.

Il remarque qu’un des sportifs en question essaie de s’enfuir, un blondinet se tapais toutes les pouffiasses qu’il pouvait trouver . Il tire et repeint les murs prêt de la avec sa cervelle. Ça valait la peine de gaspiller le deux tiers des balles pour se pratiquer a viser un peu , a moins que ça ne soit que la chance. Les gens crient, s’enfuient , personne n’ose s’approcher du jeune homme. Les trois dernières personne qu’Alexander était venu éliminer se trouvent la, devant lui. Ces connards qui ont ruinés sa vie vont payer. Quant a Julia, elle n’avait rien y voir , mais trop tard. C’est un sacrifice négligeable.

Plus que six balles.

Pourtant , on se dit toujours que tout les adolescent on un grand nombre de problème a la con, que ça va se régler plus tard , qu’il y aura toujours quelqu'un pour faire chier quelqu'un d’autre. Alex ne voit pas les choses de cet œil. Il va régler son problème définitivement.

Il tire, puis tire a nouveau. Sans état d’âme, le regard froid , il atteint les jumeaux Hawkins , deux grands gaillards au cheveux bruns, qui étaient assis a deux mètres de Sébastien , ayant même étés éclaboussés du sang de celui qui avait été la première victime.

Si aviez étés a leur place, vous auriez probablement fait dans votre pantalon. Moi aussi, d’ailleurs.

Il atteint le premier des jumeaux a l’épaule , lui arrachant presque le bras., un plomb lui passant a travers la gorge. L’autre, a la hanche, blessant dans le même tir une partie de son anatomie masculine dont il était particulièrement fier.

Je suis sur qu’il aurait préféré mourir que de se faire broyer les couilles , comme la plupart des hommes. De toute façon, il ne se relève pas, essaie de faire le mort tout en gémissant de douleur.

Plus que quatre balles.

Pendant tout cela, les gens lui parlent. Lui crient d’arrêter, lui demandent ce qui se passe. Beaucoup hurlent aussi de terreur , enfin, le peu de gens qui reste dans la salle. La plupart s’est enfuie ,mais quelques personnes se cachent sous les escaliers ou derrière des bureau , a une grande distance de la. Ils semblent fascinés, mais a la foi effrayés.

Il entends des bruits de courses . Un mec qui doit faire deux ans et une tête de plus qu’Alexander charge , un bâton de base-ball a la main. Les films, c’est pas comme dans la réalité. Quand un homme massacre des gens , on s’interpose pas . Dans les films, les balles ont tendance a dévier presque magiquement du héros qui viens sauver la situation. Pas dans la réalitée. Alex tire automatiquement, presque par réflexe.

Plus que deux balles.

Carlos Johnson, la dernière victime. Né d’une mère mexicaine et d’un père américain, c’est lui qui avait entre autres écrit le mot Homosexuel a la peinture rose sur le casier d’Alex. Oui, entre-autres. Vous savez comme les adolescents peuvent être con et chiant quand ils veulent . Moi aussi, car j’en suis un. Les dizaines de plombs lui passent a travers les cotes et le cœur, comme ils ont passés a travers le corp des autres victimes d’Alexander Jacobs.

Plus qu’une balle.

Évidemment, je ne vous décrit pas tout les détails . Je ne vous ai pas décrit qu’Alex avait les cheveux bruns, portait des lunettes , des jeans et un t-shirt. Je ne vous ai pas décrit l’entièreté des humiliations que Carlos et les autres avaient fait subir a Alexander. Je ne vous ai pas non plus décrit le fait que le cœur puisse pousser le sang a neuf mètres hors du corps, ce qui vous laisse imaginer l’état de la place publique après que sept personnes aient étés tués.

Alexandre vérifie que la dernière balle se trouve bien dans son fusil , un petit sourire malsain sur son visage. Alexander n’est déjà plus par mis nous. Il a réglé tout ses problèmes . Et même si il ne les avait pas réglé, passé un certain point, c’est un peu trop tard pour revenir en arrière.

Il retourne l’arme vers lui , la pointant sur son menton en la tenant a l’envers. Il n’est plus par mis nous. Il est déjà dans un monde meilleur, ou tout ses problèmes sont réglés. Ou en enfer, selon le point de vue. De toute façon, on se sort jamais de ce genre de chose sans problèmes. Alexander n’avait pas envie de passer des années en prison pour jeunes adolescent, en centre de détention voir même en hopital pour les maladies mentales, avec ce qu’il a fait.

Un sourire serein sur le visage, il actionne la gachette avec le pouce de la main droite, ayant bien calé le canon contre sa tête avec sa main gauche.

Fin

À chaque jours j'te voyais, a chaque jours j'avais mal
À chaque jours jte voyais, m'aurait-ce été fatal
Plus j'te parle, plus j't'haïs , j'ai plus envie d'te voir ici
T'attends quoi pour partir, que j'arrete de dépérir

J'me rapelle dans le temps ou t'étais quelqun de bien
Et j'me rapelle quand t'a changée du jours au lendemain
Les jours ont fait place a une noire nuit
J'Me rapelle quand on pouvait s'considérer amis.

Et j'me rapelle lej ous ou j'ai cessé d'taimer
J'me rapelle quand t'a arrêtée d'être sympatique
Maintenant j'te trouve plutot pathétique

C'est triste mais de toi j'en ai plus rien a faire
J'te souhaiterais bien de bruler en enfer
Adieu connasse,on s'reverras six pieds sous terre

Spéciale dédicace a Hélène, qui, si jamais elle relit ça, sait très bien que ça s'adresse a elle.

-Oh putain Jack, regarde ça, c’est encore pire que ce que le concierge nous a dit au téléphone.

Imaginez la scène. Une chambre banale, située au dixième étage d’un immeuble a appartements. Une grande fenêtre donne sur la ville , les rideau sont grands ouvert . Si quelqu’un regardais par cette fenêtre, a cet instant précis, il verrais un grand lit sur lequel reposent les corps inertes d’un homme et une femme. Les draps blancs sont trempés du sang de l’homme, fracture du crâne causée par un objet contondant. Remarquez que le sang de l’homme a éclaboussé la fenêtre sous l’impact des coup, on se doute que ça ne s’est pas fait en douceur . Probablement une barre de métal , un marteau ou un bâton de base-ball. Un bâton de golf, peut être. La peau du cou de la femme qui est allongée a ses cotés est bleuie , preuves que quelqu'un l’a serrée très fort au niveau du coup, pour la faire suffoquer. Les deux corps sont couvert d’ecchymoses.

Des traces de bagarre , on peux en trouver un peu partout dans la chambre. Que ce soit les traces de sang qui ont repeinte une partie de la chambre , preuve que le meurtrier n’y est pas allé de main morte. La petite lampe qui est fracassée par terre, le grand miroir brisé , la porte qui a été littéralement défoncée , confirmant l’hypothèse de l’arme contondante.

Un jour, vous êtes un jeune avocat plein d’avenir , qui roule sur l’or. Puis , votre meilleur ami vous trouve au lit a poil avec sa copine qui le trompait avec vous depuis un moment déjà. Quelques minutes plus tard, vous êtes réduit a l’état de cadavre sur une scène de crime , et un policier se demande pourquoi la copine de votre meilleur ami a été voir ailleurs, vu la taille de votre bite. Mais je suppose que c’est le genre de choses qui arrivent.

Un autre policier ouvre le gardes-robes situé en face du lit et trouve la pièce manquante du puzzle. Un homme, d’une trentaine d’année , pendu par la cravate , les poignets tailladés plusieurs fois. « Il voulait être sur de ne pas se rater, celui la ».

Les analyses sanguines révéleront plus tard un taux très élevé d’alcool dans son sang. Avant de passer a l’acte , il avait été consommer quelques boissons au bar du coin , pour ‘se redonner un peu de courage’. Depuis un moment, l’homme se doutait que sa petite amie le trompait . Ça avait commencé par une alerte banale dont ce cher concierge lui avait fait part. Il avait entendu des cris provenir de chez lui, alors qu’il savait pertinemment que l’homme qui autrefois était bien en vie, était parti travailler. Pour les besoins de l’histoire nous appellerons cet homme Thomas. Ou Jeffrey. Ou Bob. C’est comme vous voulez, c’est vous qui lisez. Mais si vous choisissez de l’appeler Thomas, alors prenez en compte que l’homme qui baignait dans une marre de sang au coté de la femme s’appelait Kenneth, et que la femme morte étranglée s’appelait Émilia, ça risque de vous simplifier les choses. Toutefois, si vous choisissez de l’appeler Bob, l’autre homme s’appelleras Ricardo alors que la femme s’appelleras Cindy, ce qui , vous l’admettrez, manque de classe.

Après quelques semaines a espionner sa petite amie, le nommé Thomas, jeune avocat lui aussi, alla voir par curiosité les e-mails de sa bien aimée , qui entretenait des discussions ma foi peu catholiques avec Kenneth, ce qui mit la puce a l’oreille de l’homme. Préférant attendre qu’elle lui avoue la vérité par peur de briser les fragments de ce qui restait de leur relation, Thomas attendit. Un mois. Puis un autre. A la fin du troisième, il commençait a en avoir vraiment marre, et se décida d’agir, aussi impulsive soit sa décision, il n’en pouvait plus.

Il décida donc de passer a l’acte, un jour ou il était certain de trouver Emilia et Kenneth en plein milieu d’une partie de jambes en l’air. C’était un jeudi, car le jeudi, habituellement, Thomas travaillait plus tard et venait la voir après le boulot, ce qui leur laissait un bon deux heures ou s’amuser follement. Mais aujourd’hui, Thomas n’avait pas été au travail . Les enquêteurs trouveront d’ailleurs sur son répondeur quelques messages de son patron qui se plains du fait que Thomas ne se soit pas présenté a la réunion d’aujourdhui.

Ils venaient a peine de se mettre au lit lorsque Thomas défonça la porte de l’appartement qui était verrouillée d’un coup de pied. L’alcool ayant altéré son tempérament plutôt calme habituellement, il couru a la chambre de sa bien aimée, les voyant elle et lui sur le point d’entrer en action . Voyant Kenneth qui se levait pour essayer de lui expliquer ce qui se passait, il lui asséna un puissant coup de poing a l’estomac, Kenneth pliant sous la force du coup. D’un coup de pied, il l’envoya s’écraser sur le bureau , ou il brisa le miroir ainsi que la lampe qui y étaient. Le relevant, il lui asséna plusieurs coup de marteau, car oui, c’était un marteau , au crane, projetant du sang un peu partout, avant de l’envoyer finir sa vie dans le lit ou Émilia s’était enroulée dans les draps, horrifié, elle criait tout en attendant la suite des événements.

« Tu n’est qu’une petite salope, et tu l’a toujours été »

Elle pouvait sentir l’alcool dans son haleine. Paralysée par la terreur, elle ne bougea pas quand il la brutalisa sur le lit . Je laisse a votre imagination le soin d’imaginer ce qui peux arriver si on met un homme totalement saoul et violent ainsi qu’une femme a poil sur un lit , j’espère que vous me pardonnerez de vous épargner ce genre de petit détails malsain et dégouttant.

Après avoir fini son « travail » , il réalisa soudainement qu’il ne pouvait pas laisser les choses dans cet état. Les effets de l’alcool s’effaçant peu a peu, il réalisa qu’il ne lui restait qu’une chose a faire.

Un jour, vous êtes un jeune avocat plein d’avenir qui roule sur l’or, vous avez une copine qui vous aime, la vie est belle. Puis, vous trouvez votre meilleur ami a poil avec votre petite amie, et vous pétez les plombs, massacrant tout ce joli monde . Quelques minutes plus tard, vous êtes réduit a l’état de cadavre pendu dans un placard sur une scène de crime , et un policier se demande pourquoi vous aviez choisi une cravate aussi moche aujourd’hui.

Mais bon, je suppose que ce sont des choses qui arrivent.

L’enragé

Robert Thompson était un jeune homme plutôt violent, qui aimait la bagarre. Il y à quelques mois, il avait été relâché de prison ou le jeune homme avait passé deux ans pour une affaire de meurtre. Depuis sa libération, il habitait avec sa mère alcoolique, et s’efforçait de gagner sa vie le plus honnêtement possible. C’était dur, mais il avait l’impression que les juges ne seraient pas aussi cléments avec lui la prochaine fois qu’il passerait en cour.

Tout changea lors de cette triste soirée ou Robert, rentrant chez lui après une dure journée de travail, découvrit quelque chose qui l marquerait a jamais : le cadavre de sa mère, qui gisait dans la cuisine, le crâne éclaté. C’était…charmant ,presque artistique , la façon dont le meurtrier avait semblé vouloir repeindre la cuisine avec la cervelle de la femme. Picasso en aurait été jaloux, j’en suis sur, ou alors peut être que j’ai un sens de l’humour complètement tordu.

La rage qui avait permise au jeune homme de survivre en prison refit surface telle la lave jaillissant d’un volcan. Après l’arrivée de l’ambulance et des policiers qu’il avait appelés , celui qui était autre fois un jeune délinquant surpris une conversation entre deux policiers , qu’il écouta malgré lui, ne voulant pas s’impliquer dans l’affaire. Après tout, il était sortit de prison pour recommencer sa vie a zéro et d’une façon saine, et non pas pour recommencer a vivre comme par le passé. Selon un des deux policiers, ce meurtre portait la marque typique d’un criminel nommé Big E , auquel Robert avait déjà eu affaire a plusieurs reprises en prison. Sans perdre de temps, le jeune homme aux cheveux hirsutes enfila sa veste de cuir . Peu importe les conséquences, si ça concernait aussi Big E, alors cette affaire était personnelle. Allant chercher son poignard dans sa chambre, il décida que c’était dorénavant l’heure de la chasse.

Deux heures plus tard, après avoir appelé quelques vieilles connaissances du monde de la rue et en avoir menacé quelques autres de la pointe de son couteau, Robert avait réussi à obtenir une adresse. On lui avait pris la vie de la personne la plus importante a ses yeux, et il était prêt a rendre la pareille à ce Big E, contre qui il s’était battu violemment en taule, et ce a plus d’une reprise. Arrivé a l’adresse en question , Robert ne perdit pas de temps en choses futiles telles que la subtilité ou l’élaboration d’un plan : il décida d’enfoncer la porte. Alors que son épaule réussissait a la défoncer, il perdit conscience sans avoir le temps de comprendre pourquoi. Manque de chance pour lui, Big E et deux de ses amis étaient justement en train de se préparer a sortir de chez lui. Mon petit doigt me dit qu’il n’a pas apprécié l’intrusion du jeune délinquant, car lui et ses amis le martelèrent de coup jusqu'à ce qu’il perde conscience.

Robert se réveilla quelques heures plus tard, assis sur une chaise, les mains liées dans le dos. Il avait l’impression d’avoir passé sous une voiture tant son corps était endolori…ce qui, vu la force des hommes qui l’avaient tabassé, n’était pas trop loin de la réalité en fin de compte. Quand il ouvrit les yeux, il se rendit compte qu’il était dans ce qui semblait être un atelier de menuisier, ou a la limite un sous-sol , vu les outils qui traînaient un peu partout. Profitant de son agilité qui lui avait dans sa jeunesse permit plusieurs fois de s’échapper des policiers, il commença tant bien que mal a essayer de défaire ses liens, chose qu’il réussissait sans trop de problème alors qu’il vit Big E, le criminel au crane rasé , et meurtrier de sa mère rentrer dans la pièce.

-Salut Bob, alors, comment va ta maman aujourd’hui? Commença le tueur, narguant sa victime qu’il croyait prise au piège.

Ce furent ses dernières paroles, car a la seconde ou il finissait sa phrase, Robert finissait de dénouer les liens qui le retenaient. A ce moment ci je suis sur que l’erreur qu’il avait fait lui sembla aussi grande que le poing qui se dirigeait vers son visage : ne jamais sous-estimer le pouvoir qu’ont quelques rouleau de rubans adhésif sur la capacité d’un prisonnier a s’échapper. C’est quand même moins risqué que de se faire avoir car on sait pas faire de nœud, non? Rappelez-vous en si jamais vous avez a garder quelqu'un de dangereux dans votre sous-sol ,les enfants…quoi que, non en fait oubliez ce que je viens de dire.

Réunissez un homme enragé et un endroit rempli d’outils passant de la perceuse au marteau en passant par la scie a chaîne et le tournevis. Ajoutez a ça l’homme qui a tué la seule personne qui comptait encore pour lui. Ai-je vraiment besoin de vous expliquer ce qui s’est passé en suite?

Robert Thompson disparut soudainement de la circulation. Et on ne retrouva jamais le corps de Big E.